dimanche 27 septembre 2015

Nary nary

 "Nary min gamâlou", Hisham Abbas :


la chanson d'amour par excellence pour moi, avec Yeke Yeke de Mory Kanté, j'adore ces chansons, c'est de l'énergie pure pour moi... L'amour est tellement beau... Je suis fou, oui, mais en cette minute précise, 4h44 du matin, je suis heureux ; je pense à l'Ami ; il est en moi ; je suis déjà au moment de notre prochaine rencontre ; je vais poser ma tête sur sa somptueuse poitrine noire, infiniment plus belle que l'horrible boursouflure du sein féminin, et murmurer un cri d'amour médité pendant mille ans et pourtant d'une spontanéité totale, tant mes sentiments sont intemporels... L'amour... Je ne distingue pas vraiment entre l'amour et le désir, moi... Pas besoin... Al-Jîlî dit que l'Essence divine est Désir ; il distingue neuf degré de l'amour dont le plus haut est le Désir, 'ichq... J'adore cette conception, c'est ça l'islam et pas cette connerie de Daesh de merde... J'aime aussi souvent que je désire... J'aime chaque garçon noir que je croise dans le métro... J'ai vraiment aimé le jeune Albanais, bien qu'il n'était pas si jeune que ça et que je n'aie fait que le sucer une fois, il y a des années, une belle queue ma foi, et aussi ce garçon marocain dont j'ai oublié le nom, que j'ai sucé dans un terrain vague à Marrakech ; j'aurais aimé aller plus loin avec lui, mais tant pis, prend ce que tu peux et tire-toi fils... Et j'ai surtout aimé l'Ami ; il m'a tellement bien consolé de la douleur d'exister dans ce monde enlaidi par les purulents adorateurs du vagin... L'autre jour, tourmenté par la beauté d'un jeune Arabe un peu fiotte mais charmant, dont j'ai surpris la terreur quand il a croisé mon regard de loup affamé, j'en ai appelé à la miséricorde de l'Ami ; comme d'habitude, il m'a compris et réconforté :

"- Tu sais, je devais avoir un sale regard...
- Ah oui, ton regard de sale prédateur...
- Ouais, t'as tout compris..."

J'aime sa façon d'en plaisanter ; dédramatisation... Les paroles de l'Ami sont toujours un poème ; "Bientôt t'auras ton heure de gloire"... Mon heure de gloire... La gloire... C'est comme ça qu'il appelait ça... C'est beau... "Je comprends ton langage"... nous parlons le même langage... L'amour authentique, c'est d'arriver à créer un langage commun, comme les jumeaux ; gémellité symbolique ; symbiose ; on ne peut vivre ça qu'avec un être qu'on est à même d'aimer vraiment ; il n'y a rien à faire... Ce monde débile, merdique, anérotique, anti-sexuel à mort malgré les cris hystériques des ligues de vertus dès que deux personnes s'embrassent, peut me condamner tant qu'il veut, il peut déclarer mon amour criminel par les bouches écumantes d'une légion de cuistres, je suis heureux d'être ce criminel, ce prédateur sans remords, allez vous faire foutre... L'Ami est une force, une énergie pour moi ; avec lui, tant qu'il me soutient, tant qu'il me plaît assez et qu'il veut bien m'abreuver de sa précieuse semence, j'ai la force d'aller jusqu'au bout de l'univers, d'accomplir une oeuvre d'une densité et d'une profondeur sans limites, d'éclater toutes les limites, les miennes et celles du misérable esprit humain englué dans ses fangeuses limitations morales que j'encule sec, jouir et faire jouir est la seule morale sexuelle digne des Maîtres, et je n'ai jamais eu l'ambition d'être un esclave... Ma seule, en tout cas ma principale ambition en ce moment est de sucer des kilomètres de queue noire, j'adore la queue noire, il n'y a rien de plus beau ni de plus réconfortant, voluptueux, divin etc. dans ce monde... La beauté noire... Il n'y a rien de mieux, il n'y en a pas d'autre ; si, la beauté arabe aussi, mais c'est la même chose, c'est l'Afrique ; de toute façon, le noir c'est ce qu'il y a de mieux, ça pulvérise tout... La beauté noire est le calice où je bois l'Infini et la Force divine... La peau noire est lumière... L'Ami, le Jeune Africain, c'est le Verbe ; tous les jeunes Africains sont le Verbe fait chair, je suis Melchisédec, et j'ai vocation à les faire tous défiler dans mon lit en une interminable et démentielle bacchanale qui sera le tourment des âmes bassement morales qui empuantissent ce monde... Le jeune mâle africain, c'est l'énergie cosmique, le réceptacle de la substance divine ; l'étoile du Pôle, le Pôle de la magnificence théologale suprême dont je baise la plus noble extrémité jusqu'à l'ultime usure de ma langue assoiffée de foutre africain... Il n'y a pas de mots pour dire à quel point la fellation entre garçons peut être un acte artistique d'une confondante beauté, lorsqu'il est accompli avec la brûlante ferveur que seuls certains jeunes mâles sont capables de déployer dans quelques rares moments thésaurisés providentiellement sur support magnétique ou numérique afin de les fixer pour l'éternité comme des moments de Grâce que seuls peuvent partager les vrais initiés, capables de ressentir cette transcendante beauté de l'acte charnel accompli entre mâles... Mon Dieu, j'aime le Jeune Africain au-delà de toute expression concevable, comme celui qui sort des griffes de l'Enfer aime la clarté de l'aube et la rosée du matin sur les pétales des convolvulacées - j'aime ces fleurs qui m'évoquent un des plus beaux morceaux de l'anatomie garçonnière - ou comme le saint aime Dieu, comme le rayon aime le soleil, comme... argh, je ne sais pas moi, je sais juste que s'il n'y avait pas le garçon noir, le monde n'aurait aucun sens, la vie serait pire que le pire des cauchemars, mais avec lui, gloire à Dieu, c'est autre chose ; il est certain que la présence potentielle ou actuelle d'un sublime lingam noir entre mes lèvres frémissantes détermine la transmutation de ce cauchemar intolérable en Nirvana hyper-cosmique... La beauté noire me transcende... Je suis son réceptacle épanoui... Pas autant que j'aimerais mais quand même... Dussé-je m'attirer des mégatonnes de tracasseries judiciaires, dussé-je me faire pendre par les testicules, je vais tâcher dans un avenir proche de m'enfiler, oui, des myriades d'éphèbes anthracites divinement proportionnés, je vais dûment racoler tous ceux qui auront la chance de croiser mon chemin, je vais tous les sucer, tu vas voir, ils le méritent, ils vont m'aider à accomplir ma resplendissante destinée, délivrer à l'humanité reconnaissante (on peut rêver) mon message de gloire, d'amour et de vérité... La beauté noire est plus énergétique pour moi que la fusion thermonucléaire... C'est moi qui fusionne à son contact ; je me transcende et me divinise...

L'Idéal ; Une heure au lit avec ça et je veux bien passer mille ans sur le grill
Et ces deux-là, waowh, c'est quand ils veulent ! 

Et même çui-là, je le prends, m'en fous si ça fait plus gay que BL


Mais alors ceux-là ! Je les épouse sur le champ !!!

Celui-là aussi !!!

Et ceux-là itou !


Les garçons c'est trop génial ! C'est ce qu'il y a de mieux sur terre ! Aimer les yobs c'est génial ! C'est un signe d'élection divine ! Je suis heureux d'aimer les jigés ! Chaque jour que Dieu fait, je Le remercie de pas être un con d'hétéro ni un stupide gay adultophile ! Y a qu'un seul amour noble ! Y a qu'une seule voie ! Penthésilée vaincra ! Dieu  garde l'Ami !

Tous ces imbéciles qui s'ébrouent dans des combats d'arrière-garde, pour la démocratie, la monarchie, la justice sociale, le libre-échange, les 35 heures ou le tout-à-l'égout m'énervent ; il n'y a qu'un seul combat, c'est le combat pour Penthésilée ou pour la libération sexuelle du jeune mâle humain, le reste est de la bouillie pour chats ; un homme libre d'emballer et de niquer les yobs qu'il veut n'a à se plaindre de rien, il peut donner un sens à sa vie grâce au sexe, le reste est du bavardage sans intérêt. Les yobs, y a que ça de vrai, point final.

  Je te kiffe trop !!!

Encore de la zik :


de la grosse, grosse merde commerciale, mais des années 90 ; toute ma jeunesse ! En conséquence, je suis capable de l'écouter en boucle pendant des heures. C'est si entraînant. Il y a même un ou deux mecs plus ou moins baisables dans ce clip pourtant très bouffeur de chattes ; par exemple à 0:56, le garçon à droite avec le truc sans manches ; peut-être même le T-shirt rouge, mais on le voit jamais bien ; enfin, s'il en a une très grosse je la veux bien... Bien sûr, je ne peux pas demander au bl de base de comprendre ça, mais moi je suis un hébéphile compliqué de gay pédéraste avec les jeunes blacks de 20 ans ; enfin certains, y a pas vraiment de critère... En général je prends le menu collégiens avec quelques lycéens en accompagnement et une petite sauce de prépubs, mais je peux prendre des jeunes adultes blacks en hors-d'oeuvre si j'ai vraiment la dalle... Les sentiments ça s'explique pas ; mais statistiquement, mon attirance pour les yobs suit quand même une courbe gaussienne centrée à 12-13 (dont la forme évoque assez celle de mon froc quand je croise dans la rue un modèle comme celui de la dernière photo).

I say boom boom boom, now let me hear you say wayoh...

Girl Boy your booty is so round
I just wanna lay you down
Let me take you from behind
I won't cum until it's time
But if I cannot sleep with you
Maybe I could have a taste
Put your niney on my tongue
And your booty on my face

J'adore ces paroles... simple (débile serait plus juste) mais efficace. Un jour je vais essayer de chanter ça à un yob dans le métro pour voir sa réaction... En fait j'aimerais chanter ça à tous les yobs qui m'attirent, ouais ; ça et "nary nary, nary min gamâlou...".

Put your your booty on my face !

Celui-là il est pas black, mais quel canon atomique ! Sérieux, y a-t-il un mâle qui puisse voir ça sans bander comme un âne ? C'est au delà de ce que mon intellect peut concevoir, en tout cas celui-là il est vraiment pas normal ou alors il a des problèmes de circulation !
Dans le même genre "daube commerciale sympa" des années 90 j'aime aussi beaucoup cette chanson-là :


je chantais ça, "do you really want me baby ? let-me know" à mon premier jigé, celui que j'appelle Amine, ça le faisait un peu chier, c'était marrant... quand il me demandait ce que ça voulait dire je lui répondais : "la même chose que nary nary, nary min gamâlou", ce qui était vrai, car dans tous les cas ça voulait dire pour moi : j'ai trop envie de toi, laisse-moi te la mettre au cul. Ah ! Le premier yob, c'est le meilleur... Nan, en fait pour moi c'était le deuxième le meilleur (enfin le troisième si on compte le jeune Albanais mais en général je le compte pas parce que c'était un one shot et une relation tarifée et en plus il était majeur, enfin d'après ce qu'il m'a dit, je lui ai pas demandé ses papiers pour vérifier), mais le premier était quand même vachement bon aussi ; surtout la première fois qu'il m'a demandé un strip-tease masculin et qu'il a dit "ayah quel monstre !" quand j'ai baissé mon froc, et puis qu'il m'a demandé de me branler pour voir, et j'ai dit ok mais déshabille-toi aussi alors, et puis quand j'arrivais à la fin (je veux dire à l'orgasme) j'ai demandé s'il était sûr de vouloir voir jusqu'au bout parce que ça pouvait être traumatisant pour lui (je suis un grand délicat) et il a dit oui, et il a même pas été traumatisé mdr ! C'est des moments qu'on n'oublie pas, sûr... ça valait presque la peine d'attendre vingt ans pour vivre ça... En fait, pendant ma période d'abstinence, je me disais que je passerais à l'acte le jour où j'arriverais à le justifier métaphysiquement et religieusement, mais je pensais pas que j'y arriverais un jour ; et un jour j'y suis arrivé... J'ai fini par trouver une interprétation de la métaphysique traditionnelle qui m'autorise à faire ce dont j'avais toujours rêvé ; c'est surtout le hadith "j'ai vu mon Seigneur sous la forme d'un adolescent imberbe" qui a été le déclencheur, et aussi l'introduction des Illuminations mecquoises où le Plus grand des maîtres rencontre un jeune garçon qui est en fait Allâh et qui lui dit : "lève mon voile (c'est-à-dire mes habits) et lis mes lignes", c'est-à-dire que la connaissance métaphysique, transcendantale etc. était inscrite dans la forme de son corps de garçon, ses proportions divines etc. J'ai compris que moi aussi je pouvais vivre ça concrètement ; et c'est vrai, toute la connaissance cachée est inscrite dans le corps du jigé... J'ai tellement vécu ça avec l'Ami, tu peux pas savoir... C'était un livre vivant, très vivant même... Et lui, la première fois qu'on a joué à ça va ça vient, moi je voulais simplement le sucer ; au dernier moment, il a commencé par flancher, je me suis dit : zut, c'est foutu ; mais après j'ai compris qu'il avait juste peur que son père le sache d'une manière ou d'une autre ; alors je lui ai dit que quoi qu'il se passe dans cette pièce, personne le saurait jamais à part nous, et alors il a changé tout à coup, je l'avais jamais vu comme ça... Moi je voulais juste le sucer, mais lui il a dit : non, on fait tout, alors on s'est déshabillé et il est devenu comme un lion de feu ; il s'agitait tellement que je devais presque le calmer, charmant charmant c'était... Après ça vous me dites qu'un yob peut pas être consentant ? Fils de putes ! On voit que vous étiez pas là ! Heureusement d'ailleurs.
Le plus touchant c'est qu'il m'a remercié après ; oh, ça c'est vraiment l'Ami qu'il me fallait ; et même il a remis ça une heure après... Un texto disant "c'était chouette, on refait ça jeudi ?" J'en ai presque pleuré ; malgré ça je suis censé croire qu'il avait pas vraiment envie... syndrome de Stockholm et blablabla... Crevez crevures... 
Depuis ce temps, je remercie vraiment Allâh de m'avoir fait aimer les yobs, je trouve que c'est vraiment le plus beau cadeau qu'Il m'ait fait ; sauf que tant qu'à faire, Il aurait pu me faire vivre au temps des Celtes ou à l'époque d'Abu Nuwâs, j'aurais été plus dans mon élément, mais d'un autre côté il faut bien que quelqu'un, dans cette époque de merde, défende l'honneur de Penthésilée ; c'est pour ça qu'Il m'a créé, je le sais...
L'amour des yobs me donne une énergie folle, c'est de la bombe thermonucléaire, fff ; si tu es penthésiléen, tu es au sommet de la création, tu domines tout, tu comprends tout, c'est pour toi que l'univers fut créé ; c'est ça la vérité, la voie et la vie ; je suis peut-être (ou pas) le premier à avoir découvert qu'il est possible d'interpréter tous les Livres révélés à la lumière de Penthésilée, et d'en extraire le sens caché dans cette perspective ; quand on admet le postulat que toutes les révélations divines pointent secrètement vers cet amour comme moyen de réalisation suprême, tout devient clair, lumineux, cristallin... C'est un point de vue magnifique, merveilleusement légitime ; on voit tout d'un autre oeil et c'est plus beau... Pourquoi les Chroniques de Tabarî, un des plus grands savants musulmans traditionnels, disent-elles qu'il existe, près de la montagne de Qâf, montagne mythique qui entoure le monde, un peuple parfait, élu, doué d'une longévité exceptionnelle, non adamique et exclusivement masculin ? Ne sont-ce pas les ancêtres des penthésiléens ? S'il n'y a que des mâles chez eux, ils doivent sûrement s'aimer entre mâles ; c'est toujours ce qui arrive quand on met des mâles entre eux, de plus les soufis, initiés musulmans, ont toujours été réputés pour ça. L'exégèse sur le mode allusif mène à la conclusion qu'une humanité supérieure, supra-adamique, a pour signe d'élection l'amour penthésiléen, l'amour intergénérationnel entre mâles. Toute la métaphysique transcendante peut s'interpréter à la lumière de Penthésilée ; je suis en train de développer cette idée dans mon génial roman de 1500 pages consacré à la question, et à la défense et illustration de cet amour. Je devrais d'ailleurs y travailler en ce moment, car plus vite j'en aurai fini avec la théorie plus tôt je pourrai (re)passer aux travaux pratiques, mais depuis trois jours j'arrive pas à m'y mettre parce que j'ai la flemme, au lieu de ça je glande ici et je divague... Tant pis, il faut parfois savoir gaspiller son temps...
L'amour entre mâles - entre jeunes mâles et hommes matures surtout - est la plus belle chose au monde, c'est la vraie pièce dont l'univers est le théâtre, c'est la justification suprême à l'existence de la matière, c'est le Bien, c'est l'aurore... C'est trop génial... La propagande pour l'homosexualité en direction des jeunes, des collégiens surtout, devrait être beaucoup plus agressive, et surtout il faudrait arrêter avec ces ridicules gay pride et autres ringardises du genre qui donnent une mauvaise image aux jeunes. Il faudrait sérieusement réfléchir au moyen d'imprimer dans leur esprit l'idée que l'amour entre mâles c'est super-cool. Ouais, ça ce serait vraiment bien ; celui qui parviendrait à résoudre ce problème aurait vraiment fait quelque chose de bien pour l'humanité ; Allâh serait content de lui et il faudrait lui décerner le Prix Nobel de l'amour, ou plutôt le Prix Abu Nuwâs, c'est moins moisi comme nom. Eh ! Tiens, voilà encore une bonne idée : un Prix Abu Nuwâs qui récompenserait ceux qui ont fait avancer la cause de la propagande pour Penthésilée auprès de jeunes ou fait reculer le fléau de l'hétérosexualité. Reste plus qu'à trouver un milliardaire penthésiléen qui accepte de mettre la main au portefeuille.
Ce soir, je suis heureux ; il y a un yob qui m'aime et je l'aime ; le monde peut s'effondrer, l'Ami restera l'Ami. Tous ces connards peuvent me juger, je les baise grâce à l'Ami. Merci, ô toi que Dieu a doté de toutes les perfections propices à l'amour ; et merci à Dieu qui m'a fait fils de Penthésilée ! Nous vaincrons, mes amis. L'amour des yobs est beau.


Invest in a child ! Haha, ils ne croient pas si bien dire ! 

Tellement charmant !
 
Boy, your booty is so round ! 
Et tes rondeurs sont so craquantes !

J'arrive pas à comprendre ce que tous ces gens ont contre Penthésilée ; c'est un mystère pour moi, ça me dépasse. Il y a des années, un prospectus de propagande débile et vraiment choquant disait : "un enfant n'est pas un partenaire sexuel". Comment peut-on écrire des horreurs pareilles ? Ils doivent tout de même bien se rendre compte que c'est injuste pour ces jigés qui nous désirent à l'ombre de leur totalitarisme anti-sexuel ; ou alors faudrait vraiment penser à leur greffer un cerveau un de ces jours. L'idée d'un contact physique entre corps adultes est si repoussante... Mais entre des corps jeunes, et mâles, c'est charmant, touchant... Comment peut-on y être opposé ? Il faut vraiment être tordu. Je suis environné de tordus qui condamnent la seule forme d'amour vraiment noble, et je sais même pas pourquoi. Qu'ils aillent au diable. Je suis heureux d'être ce que je suis et surtout de pas être un stupide adorateur du trou immonde que les femmes ont entre les guibolles ; mais en revanche je suis très très content d'être un véritable adorateur de ce petit être charmant, exquis, que les yobs ont entre leurs cuisses d'anges. Sucker devrait être un compliment, yeah. C'est ça, jugez-moi tas de bouffons. L'Ami me comprend et j'ai besoin de rien d'autre. Bientôt je vais le prendre dans mes bras in châ Allâh et je vais m'envoler, à des années-lumière au-dessus de votre sordide univers carcéral d'hétéros gérontophiles débiles et déprimants. Les yobs et l'amour des yobs sont la beauté du monde. Le kapé est la plus haute forme d'art. Penthésilée vaincra !

Do you really want me, baby ?
Let-me know !

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